Mardi 6 août 2 06 /08 /Août 09:21

L’accueil est désert, c’est un grand hall vitré avec un bureau garni d’un téléphone et d’un ordinateur derrière lequel normalement se tient Patricia, une jolie brune de trente ans qui fait office de standard téléphonique, secrétaire de direction, organisatrice de planning, bref, c’est elle qui dirige la boîte en quelque sorte... L’agence est située tout près de la place d’Italie, dans le 13ième arrondissement de Paris et compte trois intervenants sur le terrain dont je fais partie, plus Patricia et le patron que tout le monde appelle monsieur Rolland. On n’a pas à se plaindre de lui, c’est un bon manager, humain et franc : lorsque ça ne va pas, il n’y va pas par quatre chemins, il te convoque dans son bureau et te lâche le morceau direct. Son bureau est situé derrière l’accueil, dans un couloir qui conduit à l’atelier, là où on fait tout ce qu’on ne peut pas faire chez le client...

Il est 9h00, en plein cœur du mois d’août. Août à Paris, c’est désert : un vrai paradis pour ceux qui n’ont pas la chance de partir en vacances, ça roule, les bouchons sont inexistants, il fait beau et les filles sont en mini-jupe. En parlant de mini-jupe, celle de Patricia est à la limite de la décence : la jeune femme a mis un joli top bleu marine qui moule sa superbe poitrine comme un gant, et une petite jupe assortie avec ce top. Ses longues jambes se terminent par de superbes Louboutin à talons qui font qu’elle est obligée de se cambrer lorsqu’elle marche. Elle n’a pas beaucoup d’urgences à traiter ce matin, une intervention sur laquelle elle a envoyé Mario et quelques factures à envoyer. Lorsqu’elle entre dans le bureau de Roland, celui-ci lève les yeux de son ordinateur et son cœur s’emballe : Patricia est vraiment sexy et travailler avec elle commence à lui poser un souci, il n’a qu’une envie, c’est la violer ! Surtout qu’avec ses fines lunettes, elle ressemble comme deux gouttes d’eau à son professeur de français sur qui il n’a pas arrêté de fantasmer au collège, ça fait, ça fait... Non, il ne veut pas calculer combien de temps ça fait justement, de peur de prendre un coup au moral !
Patricia s’avance, se penche et pose une pile de feuilles devant lui. Il n’a qu’une main à tendre pour entrer en contact avec sa cuisse droite et remonter sous sa mini-jupe... Et c’est ce qu’il fait ! Il ne réalise même pas... Ou plutôt si, mais trop tard, le geste est fait, sa main est en contact avec la peau soyeuse de Patricia… Il attend anxieusement la réaction de sa secrétaire mais celle-ci fait comme si de rien était, elle se rapproche même de lui, lui permettant ainsi de remonter jusqu’à ce que ses doigts arrivent en contact avec le tissu dentelé de son tanga. Elle soupire en écartant ses jambes et dit :
- Oh, monsieur Rolland, c’est bon !
Monsieur Roland ne répond pas, ses doigts sont arrivés en bordure de la fente de Patricia qui a posé les deux mains sur le bureau et s’est inclinée en avant, s’ouvrant davantage sous la caresse précise des doigts de son patron. Monsieur Rolland s’aventure, ses doigts caressent l’entaille toute luisante d’humidité et s’attardent sur le clitoris qu’ils débusquent. Patricia se met à soupirer plus vite puis à gémir, elle vient au-devant des caresses de monsieur Roland. Soudain celui-ci enfonce lui deux doigts dans sa chatte ruisselante de désir, et les fait aller et venir de plus en plus vite, de plus en plus profondément…  Patricia se met à gémir, elle sent le plaisir arriver du fond de ses entrailles et se met à pousser des petits jappements saccadés puis elle se dégage brusquement des doigts de monsieur Rolland et se redresse, une lueur trouble au fond des yeux :
- Attendez !
Elle attrape son tanga et en se tortillant le fait descendre sur ses chevilles, puis elle s’adosse au bureau et présente son sexe à monsieur Rolland :
- Finissez-moi, lui dit-elle…
Monsieur Rolland n’en croit pas ses yeux, Patricia est debout devant lui, la pointe de ses seins semblent le narguer sous son petit top, elle a les cuisses écartées et elle attend qu’il s’exécute. Elle a un joli petit sexe en forme d’abricot dont il s’empresse d’approcher le nez. Il la renifle puis du bout de la langue il remonte le sillon rose, écartant les grandes lèvres, remontant jusqu’au clitoris qu’il se met à sucer. Patricia gémit et appuie sur la tête de son patron qui se met à la lécher de plus belle, s’enfonçant dans les replis parfumés du sexe féminin. Celle-ci atteint l’orgasme en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire et elle jouit dans la bouche de son boss…
Il lui faut quelques minutes pour se remettre, elle est un peu dans les vapes, ce dont profite monsieur Rolland : sans hésiter, il se débraguette, saisit Patricia par les hanches et l’amène sur lui…
- Non, monsieur Rolland, non…
La jeune femme veut se dégager mais c’est trop tard, manquant de prises, elle glisse vers les cuisses de monsieur Rolland et il l’empale sur son sexe dur comme du bois. Elle sent ses chairs intimes s’ouvrir d’un seul coup autour de la verge qui la perfore. Elle pousse un soupir, jette un coup d’œil vers la porte du bureau : il est presque dix heures, Mario ne va pas tarder… Monsieur Rolland a les yeux fermés, alors elle se met à le chevaucher, après tout autant en profiter, se dit-elle. Elle pose ses deux mains sur les épaules de son chef et en avant, en quelques mouvements bien appuyés elle sent son patron se tendre puis se libérer au plus profond d’elle…
Patricia se remet debout et se dirige rapidement vers les toilettes car elle sent le foutre chaud de monsieur Rolland couler sur ses cuisses. Elle réalise avec effroi que dans le feu de l’action il n’a pas mis de capote et se dit que la prochaine fois, ce sera obligatoire. Elle revient dans le bureau quelques minutes plus tard. Monsieur Rolland lui sourit, une lueur joyeuse dans les yeux :
- Alors, Patricia, et ces factures ? lui demande-t-il…

Par Tiffany - Publié dans : Mario le plombier
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