Lundi 17 février 1 17 /02 /Fév 17:07

De nouveau la salle d'attente. Même heure qu'hier, mais cette fois-ci, je suis seul, aucun patient. J'entends un bruit de voix derrière la cloison, apparemment mon médecin a quelqu'un dans son bureau.
La fille à l'accueil a eu un petit sourire lorsque je suis entré : je me suis demandé si elle n'était pas au courant de ce qui se jouait à quelques mètres d'elle, derrière la porte capitonnée du cabinet depuis deux jours, ça se pourrait bien. Elle était au téléphone avec un patient, j'ai donc dû m'accouder à son comptoir et attendre qu'elle termine de prendre un rendez-vous. Penchée sur un agenda, son décolleté largement entrebâillé m'a laissé admirer deux seins superbes à peine soutenus par un soutien-gorge en dentelle noire. Elle a rougi lorsqu'elle s'en est rendue compte mais n'a rien fait pour dérober à ma vue ses deux magnifiques obus. Je sentais ma queue commencer à se redresser dangereusement et j'ai presque été soulagé lorsqu'elle m'a indiqué la salle d'attente avec un sourire complice au bord des lèvres. Et depuis j'attends avec un début d'érection douloureux, à l'étroit dans mon jeans.
Je jette un cou d'œil à ma montre, ma toubib a un quart d'heure de retard. Les conversations ont cessé à côté. Le silence est retombé, une porte claque et puis plus rien. J'ai la désagréable impression qu'on m'a littéralement oublié et enfermé dans le centre médical. Je me lève, effectue deux pas vers la porte avec l'intention de me tirer lorsque brusquement celle-ci s'ouvre : ma toubib est là, devant moi, sa blouse blanche déboutonnée sur un petit haut moulant dessinant ses seins à la perfection. Mon regard est d'abord attiré par ses deux tétons qui pointent insolemment vers moi, puis par sa mini-jupe franchement indécente et ses deux longues jambes fuselées. Elle me sourit et dit :
- Ma tenue vous excite ? Excusez-moi de vous avoir fait attendre, je me suis changée pour notre petite séance...
Je ne réponds pas, trop occupée à m'en mettre plein les yeux. Ses bas aujourd'hui sont noirs, elle a de longues bottes qui montent jusqu'à ses genoux. Tout en elle respire la sexualité et l'érotisme, et je sens une formidable érection grimper dans mon slip. Finalement ce traitement à coup de fantasmes vivants n'est pas mal du tout. Elle s'écarte pour me laisser entrer dans son cabinet, referme la porte derrière nous et soudain, je ne sais pas ce qui me prend, ou plutôt si, je sais, sa tenue excitante, la secrétaire bandante, bref, ce soir je n'ai rien à perdre, je décide en une fraction de seconde de mener moi-même la séance, après tout qu'est-ce que je risque ? L'interruption du traitement ? Tant pis, j'aurais vécu dans ce cabinet de belles expériences..
Je me retourne brusquement et la plaque contre la porte qu'elle vient juste de refermer : elle n'a pas le temps de se rendre compte de ce qui se passe. Je m'écrase contre elle, elle gémit et tente de se dégager mais je fais un bon poids et comme je suis légèrement plus grand qu'elle, tout ce qu'elle réussit à faire, c'est de m'agripper par ma veste et tenter de me repousser, en vain.
- Que faites-vous ? chuchote-t-elle..
Je ne lui réponds pas. Je me penche sur son cou et l'embrasse là où quelques cheveux fous se dérobent sans cesse à sa brosse. Elle sent bon, je respire son odeur goulûment, je lèche cet endroit si fragile, là où commence l'épaule. Elle ne bouge plus mais je sais que j'ai gagné, son souffle s'accélère, elle se laisse aller. D'un geste brutal, j'agrippe sa blouse et la tire vers le bas, bloquant ses deux bras le long de son corps. J'écarte ses deux jambes, plaque le bas de mon corps contre sa croupe rebondie : ma queue extrêmement dure se niche entre les deux globes charnus de ses fesses. Son cul vient à ma rencontre, elle creuse les reins, toujours écrasée contre la porte. Je tâtonne, immisce mes mains dans son décolleté et j'arrache le tissu en l'écartant brutalement : les boutons sautent et j'ai accès à sa poitrine. Faire jaillir ses seins du soutien-gorge est un jeu d'enfant. J'en aguiche les pointes qui durcissent immédiatement, ce qui arrache des gémissements à ma toubib. Sa croupe masse ma queue, je délaisse ses tétons et passant une main par devant, je relève sa mini-jupe et trouve une fente humide et accueillante dont les grandes lèvres s'écartent sans difficulté au passage de mes doigts. Elle n'a pas mis de culotte, sans doute pour aller plus vite à l'essentiel, alors j'en profite : je titille son clitoris qui se met à grossir et avec mon autre main j'entreprends de remonter plus haut, m'arrêtant sur l'anneau resserré de son anus que je force et qui cède sans difficulté. Deux doigts dans le vagin, un doigt dans le cul, et voilà ma toubib qui se met d'elle-même à aller et venir à la rencontre de ces doigts qui lui arrachent des cris de plaisir.. Mais ce soir, c'est moi qui décide : j'arrête ces jeux de doigts, je la retourne et la tiens à bout de bras : elle a les yeux noyés de larmes, son maquillage a coulé, j'aperçois le bout de sa langue entre ses dents. Je saisis sa tête entre mes mains et écrase mes lèvres contre les siennes. C'est la première fois que nous nous embrassons, je savoure sa salive, nos langues se mélangent, nos dents s'entrechoquent. Puis je la repousse, la prends par les bras et l'entraine vers son bureau. D'un geste rageur, je vire tout ce qu'il y a dessus : les crayons, les dossiers, le carnet d'ordonnance se retrouvent sur le sol moquetté. Une fois la place faite, je pousse ma toubib en avant et elle se retrouve avec le buste sur le bureau, les deux jambes écartées et ses fesses tournées vers moi. Là, franchement, je savoure le tableau : sa blouse est remontée sur ses reins, son cul s'offre à mes regards, elle ses cheveux recouvrent ses épaules dénudées, son top est remonté haut sur ses omoplates, ses seins sont écrasés sur son sous-main. J'attrape mon iPhone dans la poche arrière de mon jeans et je prends quelques photos puis, sans qu'elle ne s'en aperçoive, je le mets en position caméra et le dispose sur la petite étagère qui court le long du mur. Bizarrement elle reste silencieuse et attends patiemment ce qui va suivre. Je m'agenouille face à sa croupe et plonge le nez dedans : ma langue explore le sillon trempé qui s'ouvre facilement sous sa poussée. J'attrape son clitoris plus bas, le titille entre mes lèvres... L'odeur de son sexe emplit mes narines, elle écarte le plus possible ses jambes, s'ouvrant comme une fleur. Je me redresse et remplace ma langue par ma main, trois doigts dans son sexe, un doigt dans son anus et c'est parti, je me mets à la branler de toutes mes forces. Des clapotements montent de son sexe ouvert, puis ses cris les remplacent et elle jouit en quelques minutes, son corps se tend en arrière et elle retombe, le souffle court, sur son sous-main humide. Je lui administre quelques claques bien ajustées sur la masse rebondie de ses fesses : sa peau rougit, laissant apparaître la marque de mes doigts. Puis je libère ma queue raidie et me place entre ses jambes écartées : j'ai toujours aimé cette position de levrette, mais là, j'avoue que je savoure. Je vais baiser le corps médical sur son bureau. Mon gland n'a aucune difficulté à pénétrer dans sa chatte brûlante et j'ai du mal à me retenir de jouir. Deux aller -retour au fond de son vagin puis je me retire et me place plus haut, en face de l'anneau resserré de son anus...
- Non, me souffle-t-elle, s'il te plaît...
Mais je n'en ai rien à foutre. J'appuie légèrement, je sens que ses parois intimes vont céder sans mal, alors je respire un grand coup et me laisse tomber sur elle en projetant mes hanches en avant. Son cul s'ouvre comme un fruit mûr, ma queue se fraie un chemin dans le conduit étroit. Je la saisis aux hanches pour écarter ses fesses au maximum et j'entame trois puissants aller-retour, m'enfonçant en elle jusqu'à la garde. La jouissance est violente, je crie moi aussi, je la sens qui se cabre une nouvelle fois, elle jouit de nouveau et je m'aperçois qu'elle a glissé une main entre ses cuisses et qu'elle se masturbe à toute vitesse pendant que je la sodomise sans pitié... Hélas cela ne dure pas et je me retire, complètement vidé.
Sans dire un mot, je récupère mon iPhone, ma veste, je me penche sur elle, l'embrasse tendrement dans le cou et lui dit :
- C'était une bonne séance... Au revoir toubib...
Et je la laisse là, toujours couchée sur son bureau, le cul à l'air, les jambes écartées, des traces de sperme luisantes sur ses cuisses. Une fois dans la rue, je dois m'arrêter un instant pour remettre de l'ordre dans mes idées.
- Comment va-t-elle le prendre ? Va-t-elle vouloir me revoir ou ce traitement vient-il de s'achever de part cette prestation qu'elle n'avait pas du prévoir ? L'avenir me le dira sans doute...

Par Tiffany - Publié dans : La vie sexuelle mouvementée d'un quinquagénaire - Communauté : BATIFOLAGES
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