La vie sexuelle mouvementée d'un quinquagénaire

Lundi 17 février 1 17 /02 /Fév 17:07

De nouveau la salle d'attente. Même heure qu'hier, mais cette fois-ci, je suis seul, aucun patient. J'entends un bruit de voix derrière la cloison, apparemment mon médecin a quelqu'un dans son bureau.
La fille à l'accueil a eu un petit sourire lorsque je suis entré : je me suis demandé si elle n'était pas au courant de ce qui se jouait à quelques mètres d'elle, derrière la porte capitonnée du cabinet depuis deux jours, ça se pourrait bien. Elle était au téléphone avec un patient, j'ai donc dû m'accouder à son comptoir et attendre qu'elle termine de prendre un rendez-vous. Penchée sur un agenda, son décolleté largement entrebâillé m'a laissé admirer deux seins superbes à peine soutenus par un soutien-gorge en dentelle noire. Elle a rougi lorsqu'elle s'en est rendue compte mais n'a rien fait pour dérober à ma vue ses deux magnifiques obus. Je sentais ma queue commencer à se redresser dangereusement et j'ai presque été soulagé lorsqu'elle m'a indiqué la salle d'attente avec un sourire complice au bord des lèvres. Et depuis j'attends avec un début d'érection douloureux, à l'étroit dans mon jeans.
Je jette un cou d'œil à ma montre, ma toubib a un quart d'heure de retard. Les conversations ont cessé à côté. Le silence est retombé, une porte claque et puis plus rien. J'ai la désagréable impression qu'on m'a littéralement oublié et enfermé dans le centre médical. Je me lève, effectue deux pas vers la porte avec l'intention de me tirer lorsque brusquement celle-ci s'ouvre : ma toubib est là, devant moi, sa blouse blanche déboutonnée sur un petit haut moulant dessinant ses seins à la perfection. Mon regard est d'abord attiré par ses deux tétons qui pointent insolemment vers moi, puis par sa mini-jupe franchement indécente et ses deux longues jambes fuselées. Elle me sourit et dit :
- Ma tenue vous excite ? Excusez-moi de vous avoir fait attendre, je me suis changée pour notre petite séance...
Je ne réponds pas, trop occupée à m'en mettre plein les yeux. Ses bas aujourd'hui sont noirs, elle a de longues bottes qui montent jusqu'à ses genoux. Tout en elle respire la sexualité et l'érotisme, et je sens une formidable érection grimper dans mon slip. Finalement ce traitement à coup de fantasmes vivants n'est pas mal du tout. Elle s'écarte pour me laisser entrer dans son cabinet, referme la porte derrière nous et soudain, je ne sais pas ce qui me prend, ou plutôt si, je sais, sa tenue excitante, la secrétaire bandante, bref, ce soir je n'ai rien à perdre, je décide en une fraction de seconde de mener moi-même la séance, après tout qu'est-ce que je risque ? L'interruption du traitement ? Tant pis, j'aurais vécu dans ce cabinet de belles expériences..
Je me retourne brusquement et la plaque contre la porte qu'elle vient juste de refermer : elle n'a pas le temps de se rendre compte de ce qui se passe. Je m'écrase contre elle, elle gémit et tente de se dégager mais je fais un bon poids et comme je suis légèrement plus grand qu'elle, tout ce qu'elle réussit à faire, c'est de m'agripper par ma veste et tenter de me repousser, en vain.
- Que faites-vous ? chuchote-t-elle..
Je ne lui réponds pas. Je me penche sur son cou et l'embrasse là où quelques cheveux fous se dérobent sans cesse à sa brosse. Elle sent bon, je respire son odeur goulûment, je lèche cet endroit si fragile, là où commence l'épaule. Elle ne bouge plus mais je sais que j'ai gagné, son souffle s'accélère, elle se laisse aller. D'un geste brutal, j'agrippe sa blouse et la tire vers le bas, bloquant ses deux bras le long de son corps. J'écarte ses deux jambes, plaque le bas de mon corps contre sa croupe rebondie : ma queue extrêmement dure se niche entre les deux globes charnus de ses fesses. Son cul vient à ma rencontre, elle creuse les reins, toujours écrasée contre la porte. Je tâtonne, immisce mes mains dans son décolleté et j'arrache le tissu en l'écartant brutalement : les boutons sautent et j'ai accès à sa poitrine. Faire jaillir ses seins du soutien-gorge est un jeu d'enfant. J'en aguiche les pointes qui durcissent immédiatement, ce qui arrache des gémissements à ma toubib. Sa croupe masse ma queue, je délaisse ses tétons et passant une main par devant, je relève sa mini-jupe et trouve une fente humide et accueillante dont les grandes lèvres s'écartent sans difficulté au passage de mes doigts. Elle n'a pas mis de culotte, sans doute pour aller plus vite à l'essentiel, alors j'en profite : je titille son clitoris qui se met à grossir et avec mon autre main j'entreprends de remonter plus haut, m'arrêtant sur l'anneau resserré de son anus que je force et qui cède sans difficulté. Deux doigts dans le vagin, un doigt dans le cul, et voilà ma toubib qui se met d'elle-même à aller et venir à la rencontre de ces doigts qui lui arrachent des cris de plaisir.. Mais ce soir, c'est moi qui décide : j'arrête ces jeux de doigts, je la retourne et la tiens à bout de bras : elle a les yeux noyés de larmes, son maquillage a coulé, j'aperçois le bout de sa langue entre ses dents. Je saisis sa tête entre mes mains et écrase mes lèvres contre les siennes. C'est la première fois que nous nous embrassons, je savoure sa salive, nos langues se mélangent, nos dents s'entrechoquent. Puis je la repousse, la prends par les bras et l'entraine vers son bureau. D'un geste rageur, je vire tout ce qu'il y a dessus : les crayons, les dossiers, le carnet d'ordonnance se retrouvent sur le sol moquetté. Une fois la place faite, je pousse ma toubib en avant et elle se retrouve avec le buste sur le bureau, les deux jambes écartées et ses fesses tournées vers moi. Là, franchement, je savoure le tableau : sa blouse est remontée sur ses reins, son cul s'offre à mes regards, elle ses cheveux recouvrent ses épaules dénudées, son top est remonté haut sur ses omoplates, ses seins sont écrasés sur son sous-main. J'attrape mon iPhone dans la poche arrière de mon jeans et je prends quelques photos puis, sans qu'elle ne s'en aperçoive, je le mets en position caméra et le dispose sur la petite étagère qui court le long du mur. Bizarrement elle reste silencieuse et attends patiemment ce qui va suivre. Je m'agenouille face à sa croupe et plonge le nez dedans : ma langue explore le sillon trempé qui s'ouvre facilement sous sa poussée. J'attrape son clitoris plus bas, le titille entre mes lèvres... L'odeur de son sexe emplit mes narines, elle écarte le plus possible ses jambes, s'ouvrant comme une fleur. Je me redresse et remplace ma langue par ma main, trois doigts dans son sexe, un doigt dans son anus et c'est parti, je me mets à la branler de toutes mes forces. Des clapotements montent de son sexe ouvert, puis ses cris les remplacent et elle jouit en quelques minutes, son corps se tend en arrière et elle retombe, le souffle court, sur son sous-main humide. Je lui administre quelques claques bien ajustées sur la masse rebondie de ses fesses : sa peau rougit, laissant apparaître la marque de mes doigts. Puis je libère ma queue raidie et me place entre ses jambes écartées : j'ai toujours aimé cette position de levrette, mais là, j'avoue que je savoure. Je vais baiser le corps médical sur son bureau. Mon gland n'a aucune difficulté à pénétrer dans sa chatte brûlante et j'ai du mal à me retenir de jouir. Deux aller -retour au fond de son vagin puis je me retire et me place plus haut, en face de l'anneau resserré de son anus...
- Non, me souffle-t-elle, s'il te plaît...
Mais je n'en ai rien à foutre. J'appuie légèrement, je sens que ses parois intimes vont céder sans mal, alors je respire un grand coup et me laisse tomber sur elle en projetant mes hanches en avant. Son cul s'ouvre comme un fruit mûr, ma queue se fraie un chemin dans le conduit étroit. Je la saisis aux hanches pour écarter ses fesses au maximum et j'entame trois puissants aller-retour, m'enfonçant en elle jusqu'à la garde. La jouissance est violente, je crie moi aussi, je la sens qui se cabre une nouvelle fois, elle jouit de nouveau et je m'aperçois qu'elle a glissé une main entre ses cuisses et qu'elle se masturbe à toute vitesse pendant que je la sodomise sans pitié... Hélas cela ne dure pas et je me retire, complètement vidé.
Sans dire un mot, je récupère mon iPhone, ma veste, je me penche sur elle, l'embrasse tendrement dans le cou et lui dit :
- C'était une bonne séance... Au revoir toubib...
Et je la laisse là, toujours couchée sur son bureau, le cul à l'air, les jambes écartées, des traces de sperme luisantes sur ses cuisses. Une fois dans la rue, je dois m'arrêter un instant pour remettre de l'ordre dans mes idées.
- Comment va-t-elle le prendre ? Va-t-elle vouloir me revoir ou ce traitement vient-il de s'achever de part cette prestation qu'elle n'avait pas du prévoir ? L'avenir me le dira sans doute...

Par Tiffany - Publié dans : La vie sexuelle mouvementée d'un quinquagénaire - Communauté : BATIFOLAGES
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Mardi 11 février 2 11 /02 /Fév 18:18

Que faire ? En parler à ma femme ? Non, elle ne me croira pas et je serais encore bon pour une scène avec cris et gesticulations épuisantes pour tout son entourage, c'est à dire moi. Ignorer ce second rendez-vous ? Ma foi, j'avoue hypocritement que je suis curieux de savoir ce qui m'attend même si j'en ai une petite idée. C'est donc décidé, sans réfléchir plus avant, je vous l'accorde : j'irai à ce second rendez-vous, après tout si ça peut déboucher sur une amélioration de mes capacités sexuelles, pourquoi m'en priver ?
La journée du lendemain passe comme un rêve et me voici de nouveau dans la salle d'attente. J'ai pris mon bouquin mais je n'arrive pas à fixer mon attention sur les lignes qui sautent à tout bout de champ. Je sens déjà ma queue se dresser dans mon jeans et je croise les jambes pour éviter que la vieille dame assise en face de moi ne prenne cette manifestation physique pour elle. La porte s'ouvre, la tête de mon médecin s'encastre dans l'entrebâillement, ses yeux passent sur moi sans que son visage ne trahisse quoi que ce soit. La vieille dame se lève et disparait, je reste seul, il est 19h45 passé, elle a un peu de retard ce soir. 
Trois lignes et un chapitre plus loin, la porte s'ouvre de nouveau, cette fois c'est pour moi. Je me lève et entre dans son cabinet après lui avoir serré la main. Je remarque qu'elle est en collants et que sa blouse blanche est sagement boutonnée de haut en bas ne laissant rien apercevoir de ce qu'elle cache. 
- Asseyez-vous, me dit-elle en souriant pour la première fois.
Son regard bleu vert danse derrière ses lunettes, ses tâches de rousseur lui apportent un petit plus sexy, j'essaie de deviner ses seins sous sa blouse, en pure perte..
- Allez, me dit-elle en quittant l'écran des yeux, passez à côté, nous allons voir comment régler votre problème. Déshabillez-vous, je vais reprendre votre tension. 
J'obéis gauchement, le sexe déjà en ébullition. Je m'allonge sur la couchette tandis qu'elle répète le cérémonial du lavage de mains, puis elle vient se mettre à hauteur de mon coude droit et m'enfile l'appareil à tension. Ses yeux fixent un instant la bosse proéminente de mon sexe et elle ajoute :
- Je vois que c'est la grande forme !
Un sourire gourmand passe sur ses lèvres, puis elle m'ôte le brassard, le pose sur le meuble en disant :
- 11.7, comme hier, parfait. Maintenant nous allons commencer un petit entrainement physique qui, je l'espère, vous sera profitable.
Tout en disant cela, ses mains vagabondent sur mon torse, effleurent mes tétons puis descendent et s'emparent de ma bite. 
- Voilà une très belle érection..
Elle se penche en avant et la prend en pleine bouche après avoir bataillé pour descendre mon slip. Deux aller-retour puis elle s'arrête, se redresse et déboutonne sa blouse. Elle en écarte les pans et là, j'avoue que je manque de jouir rien qu'en découvrant son corps : deux superbes seins contenus dans un soutien-gorge tout ce qu'il y a de plus classique, des bas retenus au niveau des hanches par un porte-jarretelles gris et un string noir ne cachant rien de son sexe habillé d'un frisottis de poils roux. 
- Il va falloir que vous participiez un peu ce soir, de façon à ce que je puisse tester l'effet des préliminaires sur votre queue. Cela me permettra d'élaborer un plan d'entrainement adapté.
Sans me laisser le temps d'exprimer un avis sur la question, elle approche un tabouret, grimpe sur la couchette, le visage tourné vers ma bite, m'offrant une vue particulièrement agréable sur sa fente. Elle abaisse le cul vers mon visage et me voici avec son string sous le nez. Obéissant à la demande, je passe un index le long de son sexe qui s'ouvre déjà, me dévoilant des chairs rose nacré toute luisantes de sécrétions. Le bout de ficelle de son string n'est pas un obstacle insurmontable et je le repousse pour me repaitre de cette vue magnifique. J'insiste autour de son clitoris qui se met à saillir au milieu d'une corolle rose puis je remonte, enfonce un doigt dans son vagin et me mets à aller et venir. Le silence règne dans le cabinet, à part le bruit des chairs humides, un bruit intime et excitant. Des gémissements s'élèvent, mon médecin se met à gémir, en route vers le paradis... J'ajoute un second doigt au premier puis, tout en titillant son clitoris, j'effleure plus haut l'anneau resserré de son anus qui se met à palpiter sous la caresse précise.. Si j'osais... J'ose. Mon pouce s'enfonce dans son anus, écartant les parois étroites, essayant d'aller le plus loin possible. Les gémissements de mon médecin s'intensifient, j'espère qu'il n'y a personne dans la salle d'attente...
Encore deux minutes de ce petit manège, puis j'arrête tout, je la saisis par les hanches et l'abaisse vers moi. Les senteurs fortes et salées de son sexe assaillent mes narines, sa mouille coule paresseusement le long de ses cuisses de part et d'autre de ma tête. D'un coup de langue habile, j'explore sa fente trempée puis je saisis son clitoris entre mes lèvres et me mets à l'aspirer goulûment, lui arrachant des cris de plus en plus aigus. Elle jouit en serrant brusquement les cuisses autour de ma tête et en se relevant, ployée en arrière, les deux mains sur mon torse. 
Quelques secondes plus tard, j'entends un froissement de papier puis sa main saisit ma queue et y déroule une capote :
- Vous n'êtes pas allergique au latex j'espère !
Sans même me laisser le temps de lui répondre, elle s'avance sur la couchette, se soulève et toujours dos vers moi, se laisse retomber sur ma queue qui s'enfonce très facilement en elle vu l'état d'excitation où elle se trouve. Elle reste immobile une seconde puis se met à monter et descendre régulièrement le long de mon sexe. En trois mouvements, je sens un plaisir fulgurant monter de mes reins, je la saisis par les hanches et m'enfonce en elle pour jouir, lui arrachant de petits cris de plaisir au passage...
- Très bien, me dit-elle, une fois remise de ses émotions. Cet examen a été profitable...
- C'est vrai me dis-je en observant son visage : son maquillage a coulé, des traces de noir s'étirent sous ses joues, ses yeux brillants semblent doués d'une vie autonome, tu as pris ton pied ma petite, et ça va encore me coûter 23 euros. Mais c'est pour la science, n'est-ce pas ?
- ... je vous revois demain à la même heure, il faut en profiter en ce moment, ne pas laisser le corps se ressaisir et le pousser dans ses limites. Nous sommes sur la bonne voie, à demain donc..
Elle se lève, vérifie le boutonnage très sage de sa blouse et me raccompagne jusqu'à la porte. Je ne peux éviter de me demander ce qui m'attends demain soir ! Puis je sors dans l'air frais de cette soirée qui, je dois l'avouer, a bien débuté !

Par Tiffany - Publié dans : La vie sexuelle mouvementée d'un quinquagénaire - Communauté : BATIFOLAGES
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Samedi 8 février 6 08 /02 /Fév 10:19

J'ai 54 ans, j'aime le sexe et les femmes, la bonne chair et tout ce qui va avec. J'habite en région parisienne, mais cela ne me dérange pas, Paris est une ville superbe, pleine de mystères et de surprises. Pourtant, si tout semble me sourire, une vie stable et équilibrée, j'ai quand même un problème qui me tarabuste à longueur de temps : j'ai tendance à jouir très vite. N'allez pas croire que cela m'empêche de vivre, non, mais j'aime tellement baiser que c'est frustrant de faire trois aller-retour et d'éjaculer aussitôt. Je prends donc tout mon temps dans les préliminaires, ce qui d'ailleurs est généralement apprécié : rien ne vaut le contact d'une main qui remonte lentement le long d'une cuisse couverte par un bas ou celui d'une bouche qui part du cou et qui descend vers un sexe offert après avoir effleuré des pointes de seins dressés et un nombril accueillant. Mais évidemment les prélimaires ne sont pas là pour durer, à un moment ou à un autre il faut bien entreprendre d'investir la place : c'est là que le bât blesse, et cela peut aller jusqu'à la gêne lorsque c'est la première fois que je fais l'amour avec une partenaire.
Aujourd'hui, nous avons à notre disposition un outil formidable pour apporter la solution à toute sorte d'ennuis : Internet ! Il suffit de taper la nature de votre problème dans un moteur de recherche, et hop, a solution s'inscrit en plusieurs liens qu'il suffit de consulter. Pour moi, la solution consiste en un mot : Viagra !
Je suis resté perplexe lorsque je l'ai vu apparaître sur mon écran, mais une recherche active à travers les forums de discussion m'a apporté tous plein de détails, d'adresses et de combines pour arriver enfin au nirvana des harders, à la baise qui dure une heure avec la nana qui crie stop devant la fougue de votre serviteur. Une fois cette première étape franchie, un peu de réflexion s'est imposée : il est facile de se procurer la petite pilule bleue sur le net, mais c'est aussi risqué : à mon âge, un suivi médical s'impose, j'ai pas trop envie d'ingurgiter des saloperies au risque de détériorer ma santé. Seule solution possible, le médecin. Là, j'ai hésité : mon médecin s'appelle Véronique, elle est charmante mais très discrète, très renfermée et assez froide de prime abord : pas un sourire même si ses yeux qu'elle a magnifiques du reste, ont tendance à pétiller de malice. Assez insignifiante physiquement, elle doit avoir une trentaine d'années et s'est établie à son compte il y a peu. La question qui se pose à moi est alors celle-ci : vais-je avoir assez de cran pour lui exposer mon problème ? Evidemment, elle est médecin donc à priori formée pour recevoir toutes sortes de confidences de la part de ses patients, y compris des confidences qui peuvent s'avérer scabreuses.
J'ai réfléchi une bonne semaine puis je me suis enfin décidé à franchir le pas : j'ai appelé le centre médical et obtenu un rendez-vous pour le lendemain à 10h00, c'était un peu tôt, mais bon, je n'allais pas faire la fine bouche.
La période n'était pas propice : épidémie de gastro dans les écoles, la grippe, bref, lorsque je suis arrivé à 9h45, la salle d'attente était pleine, ce qui me laissait envisager une perte de temps qui ne fut pas loin de me faire regretter cette démarche : après tout ça faisait 54 ans que je vivais avec ce petit défaut de fabrication, je pouvais bien supporter ça pour le restant de mes jours. Je fus sur le point de repartir mais finalement je décidai de rester : j'avais pris soin d'apporter le bouquin que j'étais en train de lire et qui était passionnant et donc je pouvais bien patienter un peu au fil des pages.
Au bout d'un chapitre, mon médecin apparut dans l'entrebaillement de la porte de la salle d'attente : un sourire à la ronde et elle appela ma voisine, une petite vieille qui n'arrêtait pas d'éternuer. Normalement c'était le rendez-vous de 45 donc je devais être le suivant. Je me replongeai dans mon bouquin, un thriller très palpitant où un flic alcoolique tentait d'arriver au bout d'une enquête sans y laisser trop de plumes. Des momes toussaient, un bébé se mit à pleurer. Enfin, après deux chapitres supplémentaires, la porte s'ouvrit de nouveau et mon médecin me fit un grand sourire en prononçant mon nom :
- Bonjour, me dit-elle platement avant de s'effacer pour me laisser entrer dans son cabinet.
Je pénétrai donc dans la grande pièce coupée en deux, à ma droite son bureau avec l'écran de l'ordinateur, des dossiers empilés, et à ma gauche un paravent derrière lequel se trouve la couchette sommaire, un évier, une balance et un meuble bas avec tout le matériel médical nécessaire à sa profession. J'allai m'asseoir sur la chaise face au bureau derrière lequel elle prit place. Pour la première fois, je pris le temps de la regarder : ses cheveux roux droits et fins lui tombaient librement sur les épaules. Ses yeux verts brillaient derière ses lunettes à fine monture noire. Sa blouse n'était pas attachée et laissait entrevoir un chemisier blanc très strict qui moulait une paire de seins remarquables, un jeans et des chaussures plates complétaient sa tenue. Pas de maquillage, pas de sourire, un regard assez froid qui m'engloba d'un seul tenant. Sa voix me tira de mes rêveries :
- Alors, que vous arrive-t-il ?
Voilà, j'y étais. Tous les essais de discours que j'avais pu tenter dans ma tête s'évanouire en un clin d'oeil.. je me grattai la gorge, me tripotait les doigts d'un air emprunté, toussai puis dis :
- Voilà docteur, je...euh... j'ai des soucis d'érection...
Le mot était lâché, je me sentai devenir rouge comme une pivoine. Pourtant elle ne sourit pas, ne fit aucune remarque, elle saisit son clavier d'ordinateur et se mit à taper au fur et à mesure que je lui expliquai mon problème :
- ..enfin pas exactement des problèmes d'érection, j'y arrive très bien mais ça ne dure pas longtemps, alors je me suis demandé si vous ne pourriez pas me prescrire du Viagra, j'ai entendu dire que ça aidait dans de telles conditions.
je me tais, affreusement gêné. Elle ne dit rien, pianote encore sur son ordinateur puis elle se lève et me désigne le paravent :
- Si vous voulez bien vous déshabiller, je vais devoir vous ausculter, vous devez savoir qu'avant de prescrire ce médicament, je dois vérifier que vous n'avez pas de problème cardiaque, enlevez votre chemise et votre pantalon..
Sans attendre ma réponse, elle me précède et va se laver les mains. J'obéis donc et me retrouve torse nu avec juste mon slip sur la couchette recouverte d'un papier blanc sur toute sa longueur. Elle vient se poster à ma droite, prend mon bras et me passe l'engin pour prendre la tension. Je sens sa chaleur contre mon bras droit et je remarque de minuscules tâches de rousseur sur ses joues, tâches que je n'avais pas remarqué jusque-là...
- 11.7 me dit-elle, très bien..
Elle applique son stéthoscope contre ma poitrine, me saisit le poignet et se met à compter, un oeil sur sa montre...
- Parfait me dit-elle, vous avez un coeur de marathonien..
Elle enlève son stéthoscope, le pose sur le meuble derrière elle puis se retourne et me dit :
- Bien, maintenant je vais voir si vous ne présentez aucune contre-indication physique : détendez-vous...
Sans me laisser le temps de dire ouf, elle glisse une main dans mon slip et attrape mon sexe qu'elle se met à caresser lentement. je ne sais plus ou me mettre, elle me dévisage toujours, ses yeux verts accrochés aux miens, sa bouche légèrement entrouverte. Un sourire nait au coin de ses lèvres :
- ça a l'air de bien fonctionner, dit-elle..
Tu parles, je bande comme un fou, ma bite a pris du volume et répond parfaitement aux sollicitations de ses doigts qui la parcourent de haut en bas. Elle se penche un peu vers moi et dit :
- Bon, nous allons passer aux choses sérieuses maintenant, enlevez-moi ça !
Sans me laisser le temps de réagir, elle saisit mon slip par les bords et le tire vers le bas, puis satisfaite, elle disparait de mon champ de vision. Quelques secondes plus tard, son souffle chaud se déplace sur ma bite puis sa langue se met à la lécher à petits coups rapides, m'arrachant de petits gémissements. Je sens la masse de ses seins en travers de mon ventre et sa bouche chaude se rapprocher de plus en plus de mon gland. Ses deux mains massent mes testicules et je sens même son index aller explorer plus bas. Je manque de jouir lorsque ses lèvres se referment autour de mon gland et qu'elle m'avale complètement. Je serre les fesses le plus possible pour retarder la montée de mon plaisir mais c'est peine perdue, elle me fait faire deux aller-retour au fond de sa gorge et je jouis de toutes mes forces, je sens mon sperme gicler contre son palais. Sans se soucier de rien, elle avale tout et continue un moment, puis elle se redresse, une lueur vicieuse au fond de ses prunelles :
- Effectivement, vous jouissez vite. Très bien, nous allons travailler ça ! Rhabillez-vous...
Lorsque je repasse dans son bureau, elle est assise et semble pensive. Je me rassois.
- C'est 23 Euros, me dit-elle. Je vous propose un rendez-vous demain soir, à 18h45. Vous serez mon dernier client et j'aurai le temps de tester davantage vos prédisposition au Viagra.
Que dire à ça ? Encore sonné, je lui tends ma carte vitale puis ma carte bleue, je me lève après avoir tout récupéré et lui tends la main :
- A demain, me dit-elle, passez une bonne soirée !
Je crois apercevoir une tâche brillante au coin de ses lèvres.. Elle me raccompagne à la porte et je me retrouve dehors en quelques instants, abasourdi et franchement perplexe...

Par Tiffany - Publié dans : La vie sexuelle mouvementée d'un quinquagénaire - Communauté : BATIFOLAGES
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