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Que faire ? En parler à ma femme ? Non, elle ne me croira pas et je serais encore bon pour une scène avec cris et gesticulations épuisantes pour tout son entourage, c'est à dire moi. Ignorer ce
second rendez-vous ? Ma foi, j'avoue hypocritement que je suis curieux de savoir ce qui m'attend même si j'en ai une petite idée. C'est donc décidé, sans réfléchir plus avant, je vous l'accorde :
j'irai à ce second rendez-vous, après tout si ça peut déboucher sur une amélioration de mes capacités sexuelles, pourquoi m'en priver ?
La journée du lendemain passe comme un rêve et me voici de nouveau dans la salle d'attente. J'ai pris mon bouquin mais je n'arrive pas à fixer mon attention sur les lignes qui sautent à tout bout
de champ. Je sens déjà ma queue se dresser dans mon jeans et je croise les jambes pour éviter que la vieille dame assise en face de moi ne prenne cette manifestation physique pour elle. La porte
s'ouvre, la tête de mon médecin s'encastre dans l'entrebâillement, ses yeux passent sur moi sans que son visage ne trahisse quoi que ce soit. La vieille dame se lève et disparait, je reste seul,
il est 19h45 passé, elle a un peu de retard ce soir.
Trois lignes et un chapitre plus loin, la porte s'ouvre de nouveau, cette fois c'est pour moi. Je me lève et entre dans son cabinet après lui avoir serré la main. Je remarque qu'elle est en
collants et que sa blouse blanche est sagement boutonnée de haut en bas ne laissant rien apercevoir de ce qu'elle cache.
- Asseyez-vous, me dit-elle en souriant pour la première fois.
Son regard bleu vert danse derrière ses lunettes, ses tâches de rousseur lui apportent un petit plus sexy, j'essaie de deviner ses seins sous sa blouse, en pure perte..
- Allez, me dit-elle en quittant l'écran des yeux, passez à côté, nous allons voir comment régler votre problème. Déshabillez-vous, je vais reprendre votre tension.
J'obéis gauchement, le sexe déjà en ébullition. Je m'allonge sur la couchette tandis qu'elle répète le cérémonial du lavage de mains, puis elle vient se mettre à hauteur de mon coude droit et
m'enfile l'appareil à tension. Ses yeux fixent un instant la bosse proéminente de mon sexe et elle ajoute :
- Je vois que c'est la grande forme !
Un sourire gourmand passe sur ses lèvres, puis elle m'ôte le brassard, le pose sur le meuble en disant :
- 11.7, comme hier, parfait. Maintenant nous allons commencer un petit entrainement physique qui, je l'espère, vous sera profitable.
Tout en disant cela, ses mains vagabondent sur mon torse, effleurent mes tétons puis descendent et s'emparent de ma bite.
- Voilà une très belle érection..
Elle se penche en avant et la prend en pleine bouche après avoir bataillé pour descendre mon slip. Deux aller-retour puis elle s'arrête, se redresse et déboutonne sa blouse. Elle en écarte les
pans et là, j'avoue que je manque de jouir rien qu'en découvrant son corps : deux superbes seins contenus dans un soutien-gorge tout ce qu'il y a de plus classique, des bas retenus au niveau des
hanches par un porte-jarretelles gris et un string noir ne cachant rien de son sexe habillé d'un frisottis de poils roux.
- Il va falloir que vous participiez un peu ce soir, de façon à ce que je puisse tester l'effet des préliminaires sur votre queue. Cela me permettra d'élaborer un plan d'entrainement adapté.
Sans me laisser le temps d'exprimer un avis sur la question, elle approche un tabouret, grimpe sur la couchette, le visage tourné vers ma bite, m'offrant une vue particulièrement agréable sur sa
fente. Elle abaisse le cul vers mon visage et me voici avec son string sous le nez. Obéissant à la demande, je passe un index le long de son sexe qui s'ouvre déjà, me dévoilant des chairs rose
nacré toute luisantes de sécrétions. Le bout de ficelle de son string n'est pas un obstacle insurmontable et je le repousse pour me repaitre de cette vue magnifique. J'insiste autour de son
clitoris qui se met à saillir au milieu d'une corolle rose puis je remonte, enfonce un doigt dans son vagin et me mets à aller et venir. Le silence règne dans le cabinet, à part le bruit des
chairs humides, un bruit intime et excitant. Des gémissements s'élèvent, mon médecin se met à gémir, en route vers le paradis... J'ajoute un second doigt au premier puis, tout en titillant son
clitoris, j'effleure plus haut l'anneau resserré de son anus qui se met à palpiter sous la caresse précise.. Si j'osais... J'ose. Mon pouce s'enfonce dans son anus, écartant les parois étroites,
essayant d'aller le plus loin possible. Les gémissements de mon médecin s'intensifient, j'espère qu'il n'y a personne dans la salle d'attente...
Encore deux minutes de ce petit manège, puis j'arrête tout, je la saisis par les hanches et l'abaisse vers moi. Les senteurs fortes et salées de son sexe assaillent mes narines, sa mouille coule
paresseusement le long de ses cuisses de part et d'autre de ma tête. D'un coup de langue habile, j'explore sa fente trempée puis je saisis son clitoris entre mes lèvres et me mets à l'aspirer
goulûment, lui arrachant des cris de plus en plus aigus. Elle jouit en serrant brusquement les cuisses autour de ma tête et en se relevant, ployée en arrière, les deux mains sur mon
torse.
Quelques secondes plus tard, j'entends un froissement de papier puis sa main saisit ma queue et y déroule une capote :
- Vous n'êtes pas allergique au latex j'espère !
Sans même me laisser le temps de lui répondre, elle s'avance sur la couchette, se soulève et toujours dos vers moi, se laisse retomber sur ma queue qui s'enfonce très facilement en elle vu l'état
d'excitation où elle se trouve. Elle reste immobile une seconde puis se met à monter et descendre régulièrement le long de mon sexe. En trois mouvements, je sens un plaisir fulgurant monter de
mes reins, je la saisis par les hanches et m'enfonce en elle pour jouir, lui arrachant de petits cris de plaisir au passage...
- Très bien, me dit-elle, une fois remise de ses émotions. Cet examen a été profitable...
- C'est vrai me dis-je en observant son visage : son maquillage a coulé, des traces de noir s'étirent sous ses joues, ses yeux brillants semblent doués d'une vie autonome, tu as pris ton pied ma
petite, et ça va encore me coûter 23 euros. Mais c'est pour la science, n'est-ce pas ?
- ... je vous revois demain à la même heure, il faut en profiter en ce moment, ne pas laisser le corps se ressaisir et le pousser dans ses limites. Nous sommes sur la bonne voie, à demain
donc..
Elle se lève, vérifie le boutonnage très sage de sa blouse et me raccompagne jusqu'à la porte. Je ne peux éviter de me demander ce qui m'attends demain soir ! Puis je sors dans l'air frais de
cette soirée qui, je dois l'avouer, a bien débuté !