Les morceaux choisis de Tiffany

Dimanche 6 septembre 7 06 /09 /Sep 15:17
Je travaille dans une agence de publicité en tant que conceptrice de projet : pour vous faire un résumé, je suis chargée de dénicher le bon slogan et la bonne musique pour faire acheter le plus possible de shampoing ou de produit vaisselle. C'est un peu à cause de moi que, dans le rayon de votre hypermarché, vous allez choisir tel produit plutôt que tel autre, en grande partie grâce au slogan ou à la musique de la publicité que vous aurez retenu bien malgré vous...
Nous sommes cinq dans mon équipe, il y a trois hommes : Luc, un grand blond bien baraqué qui ne pense qu'à une chose en dehors du boulot, emballer toutes les minettes qui passent à portée de sa queue, Charles un petit gars bien sympa genre étudiant coincé et Marc, le plus âgé de la bande, marié et papa d'une fillette de trois mois. Ces trois messieurs sont assistés par deux femmes, Lisa une blonde un peu évaporée aux formes généreuses, et moi, la plus jeune et la nouvelle venue, sur la sellette vu que je suis embauchée avec un CDD renouvelable tous les six mois. Le boulot est intéressant, nous nous entendons assez bien et le travail en équipe est une chose qui me branche assez.
Ce matin, il fait encore très beau : le soleil est déjà en train de monter sur les toits de la capitale et nul doute qu'il va encore faire très chaud. J'ai mis une petite jupe, très courte, un top bleu clair et des sandales achetées hier après-midi : la nouvelle loi sur l'ouverture des magasins le dimanche a au moins ça de bien pour les filles comme moi qui n'ont pas trop le temps en semaine d'aller faire du lèche-vitrine. Pour une fois, j'ai mis un soutien-gorge qui me donne l'impression d'avoir deux obus pointés droit devant moi et j'ai attaché mes cheveux noirs avec un bout de ruban rouge trouvé dans un panier de ma salle de bains. Une paire de lunettes de soleil, et hop ! J'avoue que j'irais bien me faire bronzer à Paris Plage, mais nous avons une réunion d'équipe qui commence dans....cinq minutes !!! Comme d'habitude, je termine le trajet en courant et j'arrive pile à l'heure au bureau.
Je monte les escaliers à toute vitesse et je débarque dans l'open space où se trouvent nos bureaux, séparés par de simples cloisons amovibles. Le mien est tout au fond, coincé entre les armoires métalliques qui servent de rangement et le distributeur à café, point de rassemblement de l'équipe. Soudain, je m'arrête pile, face à ma table de travail : là, bien en évidence, se trouve un dossier rouge. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Je pose mon sac et m'assieds en tentant de calmer ma respiration. J'ouvre le dossier, mais il est vide, comme mes collègues me l'avaient dit. Que dois-je faire ?
Je repense à la dernière fois où ce dossier rouge a été évoqué : c'était il y a deux semaines, un midi, autour d'une table de restaurant. Le sujet avait été abordé par Marc et Luc au moment du café. Je me souviens très bien du clin d'œil qu'ils s'étaient fait avant que Luc ne me dise :
- Tu parais prête pour le dossier rouge, Tiffany...
- Ah ? C'est quoi ce truc ? avais-je demandé...
- C'est très simple, lorsque tu auras sur ton bureau un dossier rouge vide, viens faire un tour dans la réserve de matériel au troisième étage entre midi et treize heures. Tu auras droit à un petit intermède chaleureux...
J'ai jeté un regard vers Lisa, occupée à admirer son vernis à ongle rose Barbie, mais elle faisait comme si elle n'avait pas entendu...
- Ça consiste en quoi exactement ?
Luc a de nouveau regardé Marc avant de continuer énigmatiquement :
- Viens, tu jugeras par toi-même....
Et le sujet a été clos.
Maintenant je regarde ce dossier sur mon bureau. Je jette un œil autour de moi mais tout le monde a l'air occupé, personne ne s'intéresse à moi.
- Bon, me dis-je, on verra bien...
Je n'ai pas repensé au dossier rouge de toute la matinée, accaparée par un slogan pour des céréales. Puis, à midi, alors que les collègues quittent un à un leur poste, je retrouve ce dossier sous une pile de feuilles. Je jette un coup d'œil à ma montre et décide d'aller faire un tour dans cette réserve avant d'aller manger. Je suis de nature curieuse et je ne peux m'empêcher de frissonner rien qu'à l'idée de découvrir ce qui m'attend. Il ne peut quand même pas m'arriver quelque chose de fâcheux au sein de l'agence...
La réserve de matériel est située au troisième étage entre deux salles de réunion. Il n'y a personne dans le couloir, il faut dire que nous sommes en août et que c'est la pause déjeuner. Sans hésiter j'ouvre la porte et me glisse à l'intérieur en cherchant l'interrupteur, mais je n'ai pas le temps d'appuyer dessus : deux mains me saisissent et me tirent à l'intérieur, la porte claque dans mon dos et je me retrouve dans le noir, quelqu'un collé contre moi. Je vais pour hurler mais une main se colle contre ma bouche tandis qu'une voix me chuchote au creux de l'oreille :
- Chut, Tiffany, n'aie pas peur, on ne va pas te faire de mal...
On me saisit par les poignets et on me tire les bras en arrière. Je sens confusément une autre présence dans mon dos, ils sont donc deux. Avant que je n'aie pu esquisser le moindre geste, un bandeau est attaché autour de ma tête, m'empêchant de distinguer quoi que ce soit, et on me pousse doucement mais fermement vers un mur tapissé d'étagères : en moins de deux, je me retrouve les deux bras en l'air, attachée face aux montants des étagères par des liens en tissu. Les nœuds ne sont pas énormément serrés et je me dis que je pourrais, en tirant dessus, faire tout basculer et me libérer facilement de ces entraves. La voix murmure de nouveau contre mon oreille :
- Tiffany, ne crie pas, tu ne vas pas le regretter...
Deux mains se mettent à se promener sur moi : elles sont légères, elles m'effleurent à peine mais je sens leur chaleur par-dessus mon top. J'ai chaud. J'écarte les jambes sans même y penser.. Deux autres mains remontent le long de mes mollets sans se presser puis s'arrêtent sur la peau sensible de l'intérieur de mes cuisses, frôlant la lisière de ma culotte déjà toute mouillée... Plus haut, des doigts experts ont sorti mes seins du soutien gorge et s'amusent avec leurs pointes qui durcissent. J'entends un gémissement et je mets quelques secondes avant de m'apercevoir qu'il s'agit de moi. Je tire sur mes liens et je me cambre, écartant encore plus les jambes, offerte à la caresse, prête à jouir comme une folle. C'est un supplice agréable et doux. Je n'essaie même plus de savoir qui est là, je m'en fous... Un frôlement, je sens l'un de mes deux tortionnaires se glisser entre mes jambes, puis un contact doux et humide : une langue agile s'empare de mon sexe tandis qu'une main écarte la culotte sur le côté... C'est divin... La langue joue habilement avec mon clitoris, l'effleurant puis le quittant et s'enfonçant entre mes lèvres intimes. Je ne vais pas tenir longtemps, d'autant plus qu'une autre bouche s'est emparée de mon sein gauche dont la pointe est tellement dure qu'elle me fait mal. Je jouis une première fois, violemment, écartelée par les liens, les jambes complètement ouvertes, entièrement livrée à la bouche vorace qui me dévore sans pitié.
Je ne réagis même pas lorsqu'on me détache puis qu'on me guide vers le centre de la pièce. Je sens un obstacle à hauteur des genoux, je mets mes mains en avant et touche deux épaules : un homme est assis devant moi. Une main m'aide à lever la jambe droite et me pousse en avant. J'ai compris, pas la peine de me faire un dessin : j'ai trop envie qu'on me baise. De moi-même je m'assois sur l'homme car c'en est un vu ce que je sens contre moi, et d'un seul coup je m'empale sur son sexe dressé. C'est divin. Sa queue est grosse, je me sens complètement investie et son gland vient buter contre le fond de mon vagin. Une porte s'ouvre puis se referme dans mon dos, mais cela m'indiffère : je prends appui sur les épaules de l'homme et je me mets à monter et à descendre le long de sa bite, m'appliquant à ne pas accélérer mon rythme pour prolonger le plus possible ce moment intense de plaisir. Deux mains remontent le long de mes hanches et s'arrêtent sur mes seins, les malaxant sans les ménager. Je glisse une main entre lui et moi et me mets à me caresser frénétiquement. Une houle sauvage agite ses hanches et puis soudain, c'est l'apothéose : un index force l'anneau resserré de mon anus, provoquant une jouissance immédiate qui me laisse pantelante, avachie sur mon partenaire... 
Lorsque je reprends pied, je suis toute seule dans la réserve. J'ôte le bandeau et trouve le commutateur électrique. Je me rhabille tant bien que mal et je réussis à quitter la réserve pour me réfugier dans les toilettes, histoire de me refaire une tête présentable. Personne ne lève la tête, personne ne me regarde quand je traverse l'open space pour regagner mon poste : Lisa est plongée dans l'étude de son écran, Luc, Marc et Charles discutent autour d'une maquette qu'ils ont épinglée au tableau de conférence. Lequel des trois vient de me baiser ? Impossible de le savoir. Mon bureau est dans le même état que lorsque je l'ai quitté sauf que le dossier rouge a disparu sans doute jusqu'à la prochaine fois....

Par Tiffany - Publié dans : Les morceaux choisis de Tiffany
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Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 20:01
Tout a commencé dans le métro. Voilà, c'est banal comme début mais c'est la vérité vraie. Laissez-moi vous raconter...
Je travaille dans une agence de publicité dont je tairais le nom, agence qui a pignon sur rue dans le 12 ème arrondissement. En ce moment, c'est vraiment calme, mois d'août oblige. Comme beaucoup de parisiens, je me rends au travail en utilisant les transports en commun, et ce matin je suis encore en retard. Je dois avouer que j'ai toujours eu du mal à me lever, mais là, la limite critique est atteinte, j'ai en tout et pour tout un quart d'heure pour me préparer. Je fonce dans la salle de bain, j'attrape ma brosse à dents d'une main, ma brosse à cheveux dans l'autre, puis j'enfile rapidement un slip en notant machinalement dans un coin de ma tête qu'il va falloir que je prenne du temps ce weekend pour épiler ma petite chatte, une jupe qui m'arrive juste au-dessus du genou, un petit top rouge vif qui moule ma poitrine comme un gant et je me sauve après avoir vérifié que mes clés sont bien dans mon sac à mains...
Trente minutes de métro plus cinq minutes de marche, ça devrait le faire, le patron ne sera peut-être pas encore là. J'ai la chance d'habiter tout près de la bouche de métro : en un éclair, je descends les marches et me mets à courir comme une folle dans le long couloir de Montparnasse où les gens se pressent déjà pour attraper le bon métro. Sans m'arrêter, je sors ma carte, attrape le coupon et le plaque sur le lecteur numérique. Le portillon s'ouvre et je déboule sur le quai au milieu d'une foule compacte au moment où la rame pénètre dans la station.
- Merde, me dis-je, pas de bol, les wagons sont pleins à craquer.
Que fais-je ? J'attends la suivante ? Non, ce n'est pas possible. Le train s'arrête, les portes s'ouvrent, quelques personnes descendent et je me sens littéralement poussée à l'intérieur comme une vulgaire sardine... Je ne suis pas claustrophobe, mais là, j'ai un moment de panique : nous sommes si serrés que je ne peux même pas bouger mon bras pour vérifier si j'ai remis ma carte de transport dans mon sac qui est coincé devant moi. J'agrippe la barre de la main droite mais ça ne sert à rien, il y a tellement de monde que je peux me laisser aller sans craindre de tomber.
Les stations défilent : Vavin, Raspail, Denfert... Incroyable, personne ne descend ! A croire qu'ils vont tous où je vais. Et soudain, entre Denfert Rochereau et Saint Jacques, je sens une main sur mes fesses, là, pile derrière moi ! C'est tout d'abord une présence chaude posée sur ma fesse droite. J'attends en retenant mon souffle, en me disant que c'est quelqu'un qui est obligé de se maintenir comme il peut et que cette pression va disparaître au prochain mouvement de la rame, mais non, je suis bel et bien en train de me faire peloter : la main se crispe et se met lentement à descendre... J'essaie de bouger, ne serait-ce que pour voir à qui j'ai à faire, mais impossible, je suis trop serrée, pressée contre ces étrangers qui comme moi, se rendent sans doute au boulot ! Je tente de tourner la tête en faisant mine de vouloir lire le plan des stations au-dessus de la porte, histoire de voir à qui appartient cette main, mais c'est peine perdue... Sans se soucier d'être découverte, la main continue de glisser et se retrouve très vite dans le sillon de mes fesses, sur le tissu de mon slip. Un doigt se met à frotter cette partie si sensible de mon anatomie et le temps d'une station supplémentaire son insistance commence à me donner des frissons tandis que ma fente s'humidifie et que mon sexe s'ouvre. J'ai beau me raisonner, me dire que je suis dans une foule compacte, que j'ignore à qui cette main appartient, c'est inutile, mon corps réagit comme s'il s'était déconnecté de ma raison..
Le doigt écarte le tissu, se débat un court instant dans mes poils pubiens puis entre en contact avec ma chair humide... Je dois absolument faire comme si de rien était, mais c'est difficile. Les sensations qui m'envahissent sont multiples : j'ai tout d'abord honte, puis j'ai peur du scandale si quelqu'un se rend compte de ce qui se joue là, puis je m'en fous complètement et je profite d'un mouvement brutal du wagon pour tenter de m'empaler sur ce doigt qui est maintenant posé à l'entrée de mon vagin, tout près de mon clitoris qui doit être énorme...
La rame s'arrête en grinçant. Le mouvement de freinage m'entraine vers l'avant et ce que je tentais de faire se réalise naturellement : le doigt me pénètre sur toute sa longueur. J'ai l'impression que l'air me manque, que je vais crier et jouir tout de suite. Je me mords l'intérieur de la bouche pour empêcher tout cri intempestif de franchir mes lèvres. J'écarte les jambes le plus possible dans cet espace confiné, je réalise que les pointes de mes seins sont tendues et se dessinent sous mon top de façon obscène. Le regard d'un voyageur serré contre moi croise le mien puis se fixe sur ma poitrine tandis qu'une lueur de concupiscence s'allume dans ses yeux. Plus bas, le doigt remue en fonction des mouvements de la rame. Ma main se crispe autour de la barre métallique, le plaisir se ramasse au fond de mon ventre, encore un ou deux aller retour dans ma chatte trempée et je vais jouir, là, à la barbe de tous ces travailleurs parisiens qui pensent dans leur tête au boulot qui les attend aujourd'hui...
Ça vient, mon dieu, c'est divin, je me fais doigter comme jamais je ne l'ai été, tant pis pour les conséquences, tant pis pour la petite dame qui me regarde curieusement, pour ce monsieur chauve qui fait mine de lire son journal mais qui n'en perd pas une miette, pour ce grand jeune homme dont l'eau de toilette me rappelle celle de mon dernier flirt, tant pis....
Mais brutalement le doigt glisse et me délaisse, j'éprouve une sensation de fraîcheur entre les cuisses puis d'humidité, je mouille comme c'est pas permis et si ça continue je vais tacher ma jupe.. Je réalise que la rame vient de s'arrêter place d'Italie. Les portes s'ouvrent et je dois me retenir à la barre pour ne pas me retrouver sur le quai. Un flot de voyageurs me dépasse et brusquement l'espace s'élargit autour de moi. J'essaie de deviner qui a profité de moi et de cette situation mais tout le monde se hâte vers la sortie ou vers une correspondance.. Les portes se referment sur ma frustration, la rame s'ébranle et s'engouffre dans le tunnel...
Je m'assois en serrant les cuisses. Je suis dans un état qui frise la crise de nerf. Mon envie de jouir disparait et laisse le champ libre à la honte. J'ai beau me dire que je ne pouvais pas faire grand chose, une petite voix me susurre qu'au lieu d'y prendre du plaisir j'aurai au moins pu crier ou manifester ma désapprobation de quelque manière que ce soit. Or rien de tout ça, j'ai profité et aimé cette situation, inutile de le nier.
Le métro arrive enfin à la station Daumesnil, l'endroit où je descends. Je me lève et je m'apprête à quitter le wagon quand soudain la dame de tout à l'heure m'appelle :
- Mademoiselle, vous avez laissé tomber ça !
Tout en disant ces quelques mots, elle me désigne un rectangle blanc à mes pieds. Je me baisse et le ramasse : c'est une carte de visite. Je lis ce qui est inscrit dessus et ne peux m'empêcher de rougir.. Les mots flottent devant mes yeux : Anna D., 28 rue des Martyrs, Paris 9...
Ça, c'est la meilleure, je me suis faite doigter par une femme !!! J'ai les jambes coupées, je dois m'asseoir deux minutes avant de pouvoir réagir. Un couple passe devant moi, le mec me dévisage et cette fois-ci je suis à deux doigts de lui demander si on se connaît, mais l'heure me rattrape : plus que cinq minutes avant l'embauche ! Je me lève et me précipite dans les couloirs en remettant à plus tard les pensées confuses qui se bousculent dans ma tête.
Par Tiffany - Publié dans : Les morceaux choisis de Tiffany
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